L’une des articulations de cette édition 2007 du Festi-Musa a également été la présence au chevet des artistes et participants d’un expert.

Jean Pierre Bebey, promoteur culturel et ancien manager et producteur du groupe de renommé international “ Macase ”, aujourd’hui créateur du groupe Fusa-Unit, a tenu une communication autour du sempiternel problème des difficultés que rencontrent les artistes et en proposer des solutions, afin que ces derniers “ puissent profiter de leur art ”, dit-il. L’homme a énuméré un chapelet d’entraves à l’éclosion de l’artiste camerounais. Entre autres, Jean Pierre Bebey a évoqué la non professionnalisation, l’ignorance des artistes de ce que l’art constitue une industrie, le manque d’accompagnement des artistes, l’amateurisme notoire des artistes…
Et pour éradiquer cet état de “ misère ”, l’homme a proposé comme solution la formation des artistes, car, pour lui, “ l’art une science ”. Il est question pour les adeptes de la musique, singulièrement, de se mettre à l’école de musique afin de lire la musique en “ faisant la théorie musicale ”, notamment “ le solfège ”. La professionnalisation de la filière musique semble être une autre solution. Dans la filière musique, la maîtrise du champ d’intervention est nécessaire.
Technicien, ingénieur de son, producteur, managers, organisateurs des spectacles, etc méritent, estime-t-il, une canalisation spécifique. Et pour véritablement devenir une industrie, l’artiste, poursuit Jean Pierre Bébey, “ doit prendre conscience de la l’importance des personnes d’accompagnement ” dont les médias, maillon important et essentiel pour la carrière de l’artiste, avant de les inviter à se révolter contre les prestations dans les cabarets quoi que permettant de survivre : “Jouer alors que ceux qui vous regardent boivent et mangent constitue de l’insulte ”, a-t-il conclu.

C. D

L’une des articulations de cette édition 2007 du Festi-Musa a également été la présence au chevet des artistes et participants d’un expert.

Jean Pierre Bebey, promoteur culturel et ancien manager et producteur du groupe de renommé international “ Macase ”, aujourd’hui créateur du groupe Fusa-Unit, a tenu une communication autour du sempiternel problème des difficultés que rencontrent les artistes et en proposer des solutions, afin que ces derniers “ puissent profiter de leur art ”, dit-il. L’homme a énuméré un chapelet d’entraves à l’éclosion de l’artiste camerounais. Entre autres, Jean Pierre Bebey a évoqué la non professionnalisation, l’ignorance des artistes de ce que l’art constitue une industrie, le manque d’accompagnement des artistes, l’amateurisme notoire des artistes…
Et pour éradiquer cet état de “ misère ”, l’homme a proposé comme solution la formation des artistes, car, pour lui, “ l’art une science ”. Il est question pour les adeptes de la musique, singulièrement, de se mettre à l’école de musique afin de lire la musique en “ faisant la théorie musicale ”, notamment “ le solfège ”. La professionnalisation de la filière musique semble être une autre solution. Dans la filière musique, la maîtrise du champ d’intervention est nécessaire.
Technicien, ingénieur de son, producteur, managers, organisateurs des spectacles, etc méritent, estime-t-il, une canalisation spécifique. Et pour véritablement devenir une industrie, l’artiste, poursuit Jean Pierre Bébey, “ doit prendre conscience de la l’importance des personnes d’accompagnement ” dont les médias, maillon important et essentiel pour la carrière de l’artiste, avant de les inviter à se révolter contre les prestations dans les cabarets quoi que permettant de survivre : “Jouer alors que ceux qui vous regardent boivent et mangent constitue de l’insulte ”, a-t-il conclu.

C. D

L’une des articulations de cette édition 2007 du Festi-Musa a également été la présence au chevet des artistes et participants d’un expert.

Jean Pierre Bebey, promoteur culturel et ancien manager et producteur du groupe de renommé international “ Macase ”, aujourd’hui créateur du groupe Fusa-Unit, a tenu une communication autour du sempiternel problème des difficultés que rencontrent les artistes et en proposer des solutions, afin que ces derniers “ puissent profiter de leur art ”, dit-il. L’homme a énuméré un chapelet d’entraves à l’éclosion de l’artiste camerounais. Entre autres, Jean Pierre Bebey a évoqué la non professionnalisation, l’ignorance des artistes de ce que l’art constitue une industrie, le manque d’accompagnement des artistes, l’amateurisme notoire des artistes…
Et pour éradiquer cet état de “ misère ”, l’homme a proposé comme solution la formation des artistes, car, pour lui, “ l’art une science ”. Il est question pour les adeptes de la musique, singulièrement, de se mettre à l’école de musique afin de lire la musique en “ faisant la théorie musicale ”, notamment “ le solfège ”. La professionnalisation de la filière musique semble être une autre solution. Dans la filière musique, la maîtrise du champ d’intervention est nécessaire.
Technicien, ingénieur de son, producteur, managers, organisateurs des spectacles, etc méritent, estime-t-il, une canalisation spécifique. Et pour véritablement devenir une industrie, l’artiste, poursuit Jean Pierre Bébey, “ doit prendre conscience de la l’importance des personnes d’accompagnement ” dont les médias, maillon important et essentiel pour la carrière de l’artiste, avant de les inviter à se révolter contre les prestations dans les cabarets quoi que permettant de survivre : “Jouer alors que ceux qui vous regardent boivent et mangent constitue de l’insulte ”, a-t-il conclu.

C. D

L’une des articulations de cette édition 2007 du Festi-Musa a également été la présence au chevet des artistes et participants d’un expert.

Jean Pierre Bebey, promoteur culturel et ancien manager et producteur du groupe de renommé international “ Macase ”, aujourd’hui créateur du groupe Fusa-Unit, a tenu une communication autour du sempiternel problème des difficultés que rencontrent les artistes et en proposer des solutions, afin que ces derniers “ puissent profiter de leur art ”, dit-il. L’homme a énuméré un chapelet d’entraves à l’éclosion de l’artiste camerounais. Entre autres, Jean Pierre Bebey a évoqué la non professionnalisation, l’ignorance des artistes de ce que l’art constitue une industrie, le manque d’accompagnement des artistes, l’amateurisme notoire des artistes…
Et pour éradiquer cet état de “ misère ”, l’homme a proposé comme solution la formation des artistes, car, pour lui, “ l’art une science ”. Il est question pour les adeptes de la musique, singulièrement, de se mettre à l’école de musique afin de lire la musique en “ faisant la théorie musicale ”, notamment “ le solfège ”. La professionnalisation de la filière musique semble être une autre solution. Dans la filière musique, la maîtrise du champ d’intervention est nécessaire.
Technicien, ingénieur de son, producteur, managers, organisateurs des spectacles, etc méritent, estime-t-il, une canalisation spécifique. Et pour véritablement devenir une industrie, l’artiste, poursuit Jean Pierre Bébey, “ doit prendre conscience de la l’importance des personnes d’accompagnement ” dont les médias, maillon important et essentiel pour la carrière de l’artiste, avant de les inviter à se révolter contre les prestations dans les cabarets quoi que permettant de survivre : “Jouer alors que ceux qui vous regardent boivent et mangent constitue de l’insulte ”, a-t-il conclu.

C. D