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Patricia Balme était accompagnée de Fernand De Labrosse, un des conseillers en communication de Nicolas Sarkozy.

Comment les nouvelles technologies de l’information et de la communication peuvent-elles contribuer au développement du Cameroun, plus particulièrement à une bonne connaissance de notre pays et à une meilleure perception de son image à travers le monde ? Cette problématique était au cœur de l’audience que le président Paul Biya a accordée samedi en fin de journée, 90 mn durant, à Mme Patricia Balme, présidente de P.B. Com international. Elle était accompagnée de Fernand De Labrosse, l’un des conseillers en communication du président français Nicolas Sarkozy.

Au terme de l’audience présidentielle, Mme Patricia Balme a déclaré à la presse qu’elle avait une fois de plus eu des échanges avec le président Paul Biya sur les NTIC. Après avoir fait observer la présence à ses côtés de Fernand De Labrosse qu’elle a présenté comme « spécialiste » des NTIC, elle a relevé que ce problème constitue pour le président Paul Biya une réelle préoccupation. Elle a mis en avant la volonté du Chef de l’Etat de moderniser tout ce qui concerne l’accès aux autoroutes de l’information. Répondant à son tour aux questions de la presse, Fernand De Labrosse a d’abord fait constater que bon nombre de pays à travers le monde se préoccupent du développement des NTIC, concept récent. Tous ces pays sont, selon lui, à peu près au même niveau pour ce qui est des idées sur l’utilisation à en faire. « Le Cameroun, dit-il, est tout à fait éligible pour pouvoir développer les autoroutes de l’information, pour pouvoir faire rayonner le pays à l’extérieur car le web est international… » Celui-ci peut contribuer partout, à Washington, à Berlin, à Montréal par la diffusion de l’information via internet, à faire la promotion du pays à travers le sport, la culture, l’économie… Pour ce qui est concrètement de la contribution à l’image du Cameroun à travers le monde, Fernand De Labrosse affirme « qu’on va y réfléchir », le président Paul Biya se montrant « tout à fait conscient des enjeux, charge à nous de comprendre le message qu’il nous a fait passer, à savoir mettre le Cameroun en haut de l’affiche. »

Mme Patricia Balme était reçue pour la troisième fois en six mois au palais de l’Unité. Elle avait été l’hôte du chef de l’Etat le 30 août 2007. A sa sortie du palais de l’Unité, elle avait révélé qu’elle travaillait pour le Cameroun depuis 1999 dans le domaine de la communication internationale. Le 2 décembre dernier, après un autre entretien avec le président Paul Biya, elle a souligné le souci présidentiel pour une plus grande ouverture de notre pays à travers une offre accrue de communication par le biais des médias, la télévision et internet notamment.

CT

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Patricia Balme était accompagnée de Fernand De Labrosse, un des conseillers en communication de Nicolas Sarkozy.

Comment les nouvelles technologies de l’information et de la communication peuvent-elles contribuer au développement du Cameroun, plus particulièrement à une bonne connaissance de notre pays et à une meilleure perception de son image à travers le monde ? Cette problématique était au cœur de l’audience que le président Paul Biya a accordée samedi en fin de journée, 90 mn durant, à Mme Patricia Balme, présidente de P.B. Com international. Elle était accompagnée de Fernand De Labrosse, l’un des conseillers en communication du président français Nicolas Sarkozy.

Au terme de l’audience présidentielle, Mme Patricia Balme a déclaré à la presse qu’elle avait une fois de plus eu des échanges avec le président Paul Biya sur les NTIC. Après avoir fait observer la présence à ses côtés de Fernand De Labrosse qu’elle a présenté comme « spécialiste » des NTIC, elle a relevé que ce problème constitue pour le président Paul Biya une réelle préoccupation. Elle a mis en avant la volonté du Chef de l’Etat de moderniser tout ce qui concerne l’accès aux autoroutes de l’information. Répondant à son tour aux questions de la presse, Fernand De Labrosse a d’abord fait constater que bon nombre de pays à travers le monde se préoccupent du développement des NTIC, concept récent. Tous ces pays sont, selon lui, à peu près au même niveau pour ce qui est des idées sur l’utilisation à en faire. « Le Cameroun, dit-il, est tout à fait éligible pour pouvoir développer les autoroutes de l’information, pour pouvoir faire rayonner le pays à l’extérieur car le web est international… » Celui-ci peut contribuer partout, à Washington, à Berlin, à Montréal par la diffusion de l’information via internet, à faire la promotion du pays à travers le sport, la culture, l’économie… Pour ce qui est concrètement de la contribution à l’image du Cameroun à travers le monde, Fernand De Labrosse affirme « qu’on va y réfléchir », le président Paul Biya se montrant « tout à fait conscient des enjeux, charge à nous de comprendre le message qu’il nous a fait passer, à savoir mettre le Cameroun en haut de l’affiche. »

Mme Patricia Balme était reçue pour la troisième fois en six mois au palais de l’Unité. Elle avait été l’hôte du chef de l’Etat le 30 août 2007. A sa sortie du palais de l’Unité, elle avait révélé qu’elle travaillait pour le Cameroun depuis 1999 dans le domaine de la communication internationale. Le 2 décembre dernier, après un autre entretien avec le président Paul Biya, elle a souligné le souci présidentiel pour une plus grande ouverture de notre pays à travers une offre accrue de communication par le biais des médias, la télévision et internet notamment.

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Patricia Balme était accompagnée de Fernand De Labrosse, un des conseillers en communication de Nicolas Sarkozy.

Comment les nouvelles technologies de l’information et de la communication peuvent-elles contribuer au développement du Cameroun, plus particulièrement à une bonne connaissance de notre pays et à une meilleure perception de son image à travers le monde ? Cette problématique était au cœur de l’audience que le président Paul Biya a accordée samedi en fin de journée, 90 mn durant, à Mme Patricia Balme, présidente de P.B. Com international. Elle était accompagnée de Fernand De Labrosse, l’un des conseillers en communication du président français Nicolas Sarkozy.

Au terme de l’audience présidentielle, Mme Patricia Balme a déclaré à la presse qu’elle avait une fois de plus eu des échanges avec le président Paul Biya sur les NTIC. Après avoir fait observer la présence à ses côtés de Fernand De Labrosse qu’elle a présenté comme « spécialiste » des NTIC, elle a relevé que ce problème constitue pour le président Paul Biya une réelle préoccupation. Elle a mis en avant la volonté du Chef de l’Etat de moderniser tout ce qui concerne l’accès aux autoroutes de l’information. Répondant à son tour aux questions de la presse, Fernand De Labrosse a d’abord fait constater que bon nombre de pays à travers le monde se préoccupent du développement des NTIC, concept récent. Tous ces pays sont, selon lui, à peu près au même niveau pour ce qui est des idées sur l’utilisation à en faire. « Le Cameroun, dit-il, est tout à fait éligible pour pouvoir développer les autoroutes de l’information, pour pouvoir faire rayonner le pays à l’extérieur car le web est international… » Celui-ci peut contribuer partout, à Washington, à Berlin, à Montréal par la diffusion de l’information via internet, à faire la promotion du pays à travers le sport, la culture, l’économie… Pour ce qui est concrètement de la contribution à l’image du Cameroun à travers le monde, Fernand De Labrosse affirme « qu’on va y réfléchir », le président Paul Biya se montrant « tout à fait conscient des enjeux, charge à nous de comprendre le message qu’il nous a fait passer, à savoir mettre le Cameroun en haut de l’affiche. »

Mme Patricia Balme était reçue pour la troisième fois en six mois au palais de l’Unité. Elle avait été l’hôte du chef de l’Etat le 30 août 2007. A sa sortie du palais de l’Unité, elle avait révélé qu’elle travaillait pour le Cameroun depuis 1999 dans le domaine de la communication internationale. Le 2 décembre dernier, après un autre entretien avec le président Paul Biya, elle a souligné le souci présidentiel pour une plus grande ouverture de notre pays à travers une offre accrue de communication par le biais des médias, la télévision et internet notamment.

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Des artistes ont présenté leurs œuvres hier au British Council de Yaoundé.
Clarisse Bakodok (Stagiaire) – L’événement est une réponse à l’appel à la candidature du projet "Bring the Noise", lancé au début du mois de juillet dernier. Sept artistes visuels de nationalité camerounaise ont exposé leurs œuvres hier, mardi 31 juillet, dans la salle de séminaire du British Council de Yaoundé. Pour les participants cependant, il s’est davantage agi d’un test de sélection en vue de représenter le Cameroun au cours du projet "Bring the Noise", qui est une initiative d’interaction culturelle à long terme visant à lier les peuples d’Afrique et ceux du Royaume Uni.
L’exposition a été lancée par la remise des diplômes de participations aux artistes, par la directrice du British Council, Mme Jenny Scott. Ensuite, le moment est venu pour Alexis Essama, Waa Nkeng Musi, Nereus Patrick, Nwatum Damaruis, Lekuma Ketuafor, Eyungakpa Mbi Charles et Landry Mbassi de rejoindre chacun son stand d’exposition. Une multitude d’objets d’arts y sont exposés. A l’entrée de la salle, on peut voir des toiles, des, photos et un catalogue d’une variété de tableaux conçus par un artiste.

Plus loin, vers le centre et plus précisément dans le stand numéro 3, on peut lire au mur "The bamboo man". C’est en effet le stand de Lekuma Ketuafor. Coiffé d’un chapeau et arborant des chaussures en bambou, il explique : "Je suis l’homme du bambou parce que toutes mes œuvres sont faites en bambou…". Une affirmation qui se vérifie par les objets exposés à son stand. On y retrouve notamment des bijoux, des sacs, des tableaux et plein d’autres objets usuels essentiellement faits à base du bambou. Ce qui le distingue singulièrement de ses concurrents. Lesquels sont, pour la plupart, des photographes, des sculpteurs, des peintres et des confectionneurs de spot vidéo.
Les candidats qui seront finalement retenus vont participer à tous les niveaux du projet "Bring the Noise". Ce sont, entre autres, un séjour de deux semaines au Royaume Unis en octobre 2007, une prestation au sommet des chefs d’Etats africains en Ouganda en novembre 2007, et un minimum de cinq prestations entre décembre et mars 2008. Le résultat de cette compétition artistique sera connu dans un bref délais, annonce les organisateurs. Ce sera après une observation minutieuse des œuvres exposés, par un jury composé d’un enseignant en art du spectacles à l’Université de Yaoundé I, de trois membres du comité d’organisation et de la directrice du British Council en personne.