L’Agenda new-yorkais de Chantal Biya

par mboasawa

Tout au long du séjour du président de la République à New-York, la première Dame camerounaise est restée particulièrement active.

Le lundi 22 septembre déjà, elle participe au Musée métropolitain de New York au symposium de la Maison Blanche sur la promotion de l’alphabétisation dans le monde. Parmi les figures connues, il y a là Mmes Laura Bush, Première Dame des Etats-Unis, Carla Bruni Sarkozy de France, Chantal Compaoré du Burkina Faso, Lobbo Touré du Mali. Pour l’ensemble des panélistes, il faut améliorer l’alphabétisation pour atteindre le développement ; vision partagée par le directeur général de l’UNESCO Koïchiro Matsuura.

Le mardi 23 septembre, Mme Chantal Biya participe comme invitée au thé d’amitié organisé à la résidence officielle du secrétaire général de l’ONU, aux côtés de Mme Ban Soon Taek et de 44 autres premières dames du monde entier.

Le mercredi 24, l’épouse du chef de l’Etat visite le Musée des arts et du design à New York.

Le jeudi 25 septembre, elle participe à une table ronde organisée par le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé, le Dr Margaret Chan. Celle-ci veut utiliser l’influence des femmes leaders pour réduire le taux de mortalité chez la femme enceinte. En Afrique, faut-il le rappeler, on enregistre encore près de 1000 décès pour 100 000 naissances vivantes.

Le vendredi 26 septembre, Mme Chantal Biya participe, sur invitation de Mme Ban Soon Taek, épouse du secrétaire général de l’ONU, à un débat sur l’autisme dans le monde au Millenium Hotel à New-York. Les panélistes souhaitent une plus grande prise de conscience sur ce phénomène qui affecte des millions d’enfants dans le monde, dont un million et demi d’américains. Les débats étaient coordonnés par Christiane Amanpour, reporter de guerre à CNN.

Last but not least, la première dame camerounaise reçoit en audience ce même vendredi le Dr Djibril Diallo, conseiller en communication d’ONUSIDA et porteur d’un message du directeur adjoint d’ONUSIDA à Mme Biya.

Synthèse de ABUI MAMA

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L’Agenda new-yorkais de Chantal Biya

par mboasawa

Tout au long du séjour du président de la République à New-York, la première Dame camerounaise est restée particulièrement active.

Le lundi 22 septembre déjà, elle participe au Musée métropolitain de New York au symposium de la Maison Blanche sur la promotion de l’alphabétisation dans le monde. Parmi les figures connues, il y a là Mmes Laura Bush, Première Dame des Etats-Unis, Carla Bruni Sarkozy de France, Chantal Compaoré du Burkina Faso, Lobbo Touré du Mali. Pour l’ensemble des panélistes, il faut améliorer l’alphabétisation pour atteindre le développement ; vision partagée par le directeur général de l’UNESCO Koïchiro Matsuura.

Le mardi 23 septembre, Mme Chantal Biya participe comme invitée au thé d’amitié organisé à la résidence officielle du secrétaire général de l’ONU, aux côtés de Mme Ban Soon Taek et de 44 autres premières dames du monde entier.

Le mercredi 24, l’épouse du chef de l’Etat visite le Musée des arts et du design à New York.

Le jeudi 25 septembre, elle participe à une table ronde organisée par le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé, le Dr Margaret Chan. Celle-ci veut utiliser l’influence des femmes leaders pour réduire le taux de mortalité chez la femme enceinte. En Afrique, faut-il le rappeler, on enregistre encore près de 1000 décès pour 100 000 naissances vivantes.

Le vendredi 26 septembre, Mme Chantal Biya participe, sur invitation de Mme Ban Soon Taek, épouse du secrétaire général de l’ONU, à un débat sur l’autisme dans le monde au Millenium Hotel à New-York. Les panélistes souhaitent une plus grande prise de conscience sur ce phénomène qui affecte des millions d’enfants dans le monde, dont un million et demi d’américains. Les débats étaient coordonnés par Christiane Amanpour, reporter de guerre à CNN.

Last but not least, la première dame camerounaise reçoit en audience ce même vendredi le Dr Djibril Diallo, conseiller en communication d’ONUSIDA et porteur d’un message du directeur adjoint d’ONUSIDA à Mme Biya.

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L’Agenda new-yorkais de Chantal Biya

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Tout au long du séjour du président de la République à New-York, la première Dame camerounaise est restée particulièrement active.

Le lundi 22 septembre déjà, elle participe au Musée métropolitain de New York au symposium de la Maison Blanche sur la promotion de l’alphabétisation dans le monde. Parmi les figures connues, il y a là Mmes Laura Bush, Première Dame des Etats-Unis, Carla Bruni Sarkozy de France, Chantal Compaoré du Burkina Faso, Lobbo Touré du Mali. Pour l’ensemble des panélistes, il faut améliorer l’alphabétisation pour atteindre le développement ; vision partagée par le directeur général de l’UNESCO Koïchiro Matsuura.

Le mardi 23 septembre, Mme Chantal Biya participe comme invitée au thé d’amitié organisé à la résidence officielle du secrétaire général de l’ONU, aux côtés de Mme Ban Soon Taek et de 44 autres premières dames du monde entier.

Le mercredi 24, l’épouse du chef de l’Etat visite le Musée des arts et du design à New York.

Le jeudi 25 septembre, elle participe à une table ronde organisée par le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé, le Dr Margaret Chan. Celle-ci veut utiliser l’influence des femmes leaders pour réduire le taux de mortalité chez la femme enceinte. En Afrique, faut-il le rappeler, on enregistre encore près de 1000 décès pour 100 000 naissances vivantes.

Le vendredi 26 septembre, Mme Chantal Biya participe, sur invitation de Mme Ban Soon Taek, épouse du secrétaire général de l’ONU, à un débat sur l’autisme dans le monde au Millenium Hotel à New-York. Les panélistes souhaitent une plus grande prise de conscience sur ce phénomène qui affecte des millions d’enfants dans le monde, dont un million et demi d’américains. Les débats étaient coordonnés par Christiane Amanpour, reporter de guerre à CNN.

Last but not least, la première dame camerounaise reçoit en audience ce même vendredi le Dr Djibril Diallo, conseiller en communication d’ONUSIDA et porteur d’un message du directeur adjoint d’ONUSIDA à Mme Biya.

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Tout au long du séjour du président de la République à New-York, la première Dame camerounaise est restée particulièrement active.

Le lundi 22 septembre déjà, elle participe au Musée métropolitain de New York au symposium de la Maison Blanche sur la promotion de l’alphabétisation dans le monde. Parmi les figures connues, il y a là Mmes Laura Bush, Première Dame des Etats-Unis, Carla Bruni Sarkozy de France, Chantal Compaoré du Burkina Faso, Lobbo Touré du Mali. Pour l’ensemble des panélistes, il faut améliorer l’alphabétisation pour atteindre le développement ; vision partagée par le directeur général de l’UNESCO Koïchiro Matsuura.

Le mardi 23 septembre, Mme Chantal Biya participe comme invitée au thé d’amitié organisé à la résidence officielle du secrétaire général de l’ONU, aux côtés de Mme Ban Soon Taek et de 44 autres premières dames du monde entier.

Le mercredi 24, l’épouse du chef de l’Etat visite le Musée des arts et du design à New York.

Le jeudi 25 septembre, elle participe à une table ronde organisée par le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé, le Dr Margaret Chan. Celle-ci veut utiliser l’influence des femmes leaders pour réduire le taux de mortalité chez la femme enceinte. En Afrique, faut-il le rappeler, on enregistre encore près de 1000 décès pour 100 000 naissances vivantes.

Le vendredi 26 septembre, Mme Chantal Biya participe, sur invitation de Mme Ban Soon Taek, épouse du secrétaire général de l’ONU, à un débat sur l’autisme dans le monde au Millenium Hotel à New-York. Les panélistes souhaitent une plus grande prise de conscience sur ce phénomène qui affecte des millions d’enfants dans le monde, dont un million et demi d’américains. Les débats étaient coordonnés par Christiane Amanpour, reporter de guerre à CNN.

Last but not least, la première dame camerounaise reçoit en audience ce même vendredi le Dr Djibril Diallo, conseiller en communication d’ONUSIDA et porteur d’un message du directeur adjoint d’ONUSIDA à Mme Biya.

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Le plaidoyer de Sam Mbende aux médias

par

Le Pca de la Cmc plaide pour le respect des droits d’auteur et l’implication des journalistes dans la sensibilisation et l’information des usagers. –

Répondant à une invitation du Dg de l’Organisation africaine de la propriété intellectuelle (Oapi), le Pca de la Cmc, a entretenu une trentaine de journalistes en provenance des pays africains membres de l’espace Oapi. Les thèmes du débat ont porté sur : “ Qu’est-ce que le droit d’auteur et les droits voisins ? Pourquoi doit-on respecter les droits d’auteurs ? ” Sam Mbende plaide pour que les journalistes soient imprégnés des réalités du droit d’auteur. Il les invite à sensibiliser, à informer les redevables sur le bien fondé des redevances. “ Les journalistes doivent comprendre que les droits d’auteurs ne sont pas une propriété exclusive des artistes musiciens, comédiens, plasticiens, photographes. Les journalistes qui sont éditorialistes devraient faire attention à leur publication. Ils gagneraient à les protéger dans les organismes de gestion collective. Ils doivent collaborer plus naturellement avec les services de perception et le public dans le domaine de la lutte contre la piraterie ”, affirme Sam Mbende.
Selon le Pca de la Cmc, le droit d’auteur est marginalisé et malheureusement apprécié au-dessous de sa valeur réelle, à cause de sa méconnaissance au sein du monde de la communication dans nos pays africains. “ Et pourtant, la gestion collective rend des services éminents au monde de la musique et à d’autres arts créateurs. En gérant leurs droits, le système récompense les créateurs pour leur travail et, à leur tour, les créateurs sont davantage motivés pour développer et employer leurs talents dans un environnement qui leur accorde une protection adéquate au titre du droit d’auteur et des droits voisins ”, clame-t-il. Les échanges ont aussi tourné autour des questions relatives au droit moral ou intellectuel ; aux droits patrimoniaux ; au droit de représentation ; au droit de reproduction… S’agissant des droits connexes, Sam Mbende fait remarquer qu’ils sont regroupés sous le thème générique des droits voisins (parce que voisins du droit d’auteur). Ils s’articulent autour de trois principes : le droit d’autoriser et d’interdire (le droit moral) réservé jusque-là aux seuls auteurs, la rémunération équitable et le rémunération pour copie privée. Ces droits ne portent pas atteinte aux droits des auteurs.

Droits d’auteur et artistes
Sam Mbende soutient que l’auteur ne peut revendiquer un droit qu’au regard de l’œuvre originale qu’il a créée. “ Est originale, toute création qui n’est pas la simple reproduction d’une œuvre existante et qui exprime le goût, l’intelligence et le savoir faire de son auteur, en d’autres termes sa personnalité dans la composition et l’expression. La reconnaissance du droit d’auteur est donc essentielle pour les artistes car elle valide officiellement le travail de création. Le bénéfice du droit d’auteur, outre les rémunérations financières qui peuvent lui être associées, valorise socialement l’artiste ”. Sur la valeur sociale et économique des droits d’auteur, l’orateur est convaincu qu’une bonne gestion des droits d’auteur est un atout motivant pour les créateurs à contribuer au développement du secteur culturel. Elle attire l’investissement étranger et, en général, permet au public de profiter d’un large éventail d’œuvres. Sam Mbende qui voit ainsi sa qualité d’expert être reconnue par l’Oapi et l’Ompi, a été souvent sollicité au Congo Démocratique, au Gabon, Guinée Equatoriale et même en Belgique dans les domaines de la production musicale la gestion collective et l’édition musicale. En plus du Gicam qui a sollicité son expertise d’homme de terrain sur les questions de la lutte contre la piraterie, à l’invitation de l’Organisation mondiale de la douane, Sam Mbende a récemment entretenu les magistrats africains sur les problèmes liés à la contrefaçon.  

Par Souley ONOHIOLO

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